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L'INSEE intègre le trafic de drogue dans le calcul de son PIB

Commentaire d'ASAV : Rappelez-vous, il y a eu, en décembre 2019, une grève des statisticiens de l'INSEE pour protester contre la réforme des retraites et le truquage des chiffres de l'INSEE pour présenter la retraite à points sous un jour favorable. Le site Arrêt sur image avait parlé d'une "mutinerie" largement ignorée par les médias de masse.

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Bonjour la morale publique ! L'INSEE intègre le calcul du trafic de drogue dans le chiffre officiel du PIB. Soit 2,7 milliards d'euros : 0,1% du PIB. Qu'importent les ravages sur le cerveau et l'intelligence, que la drogue fait à son possesseur.


[A l'inverse,]

Le rassemblement, Le Peuple d'abord, propose de construire un nouveau PIB, uniquement qualitatif. Il ne comptabilisera que les activités d'intérêt général, saines (pas d'alcool, drogues et malbouffe), créatrices d'emplois durables et écolos.


1°)- L'INSEE minimise la consommation de drogue en France

...

1-1°)- La cocaïne se répand en France

...

1-2°)- Le cannabis, ce n'est pas de la verveine


De son côté, croire que le cannabis est inoffensif est une légende : le cannabis est responsable de nombreux accidents de la route.

...

Autre problème majeur du cannabis :il diminue les facultés de jugement, à l'école et au travail, comme la cocaïne et l'alcool.

...

2°)-Il est vrai que depuis que l'INSEE est sous la tutelle de Bercy, l'institut fait n'importe quoi :

 On savait déjà que L'INSEE truquait, calculait :


*de faux chiffres sur le chômage, ne comptabilisant que les chômeurs sans emploi : excluant les chômeurs ayant un petit boulot ou un contrat aidé


*Le loyer représente selon lui 11% des revenus d'une personne, alors que la réalité est plus proche de 33%.


.*Les sans abris voient leur nombre plafonner à 100 000, alors que les gens vivant dans la rue, les squats représentent 400 000 personnes.


Maintenant, c'est le coût du cannabis et de la cocaïne, qui sont intégrés dans le calcul du chiffre officiel du PIB. On me dira que le PIB comptabilisait déjà la cigarette (60 000 morts par an) et l'alcool (40 000 morts par an). C'est immoral. En intégrant le trafic de drogue, l'Institut s'enfonce donc dans la boue glissante d'une notion du PIB, qui ne vaut que pour les épiciers cupides de fric, comme alpha et omega de l'existence.


Pour lire l'article de BRIGITTE PASCALL







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