Un an après le début de la mobilisation des hôpitaux, c'est la catastrophe. Nicole Ferroni célèbre un triste anniversaire... avec l'espoir que ça change.
Si les hôpitaux et les services des urgences avaient été écoutés, nous n’en serions peut-être pas là. Si l’État avait considéré à temps que les services de santé n’étaient « pas des coûts ou des charges mais des biens précieux » (dixit Emmanuel Macron), alors, nous n’en serions peut-être pas là.
Voici en somme, ce que nous rappelle Nicole Ferroni dans cette chronique diffusée sur France Inter.
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