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Comment tuer socialement un lanceur d’alerte ? Mode d’emploi en « démocratie » ! -The Conversation

Lanceurs d’alerte : principe de réalité


Lorsqu’un citoyen pointe une dérive de l’état dans un pays qui bat pavillon démocratique, ce n’est pas la simple fable d’un pot de terre et d’un pot de fer qui débute, c’est l’histoire d’une mise au pilori violente par tous moyens qui s’enclenche.

Le citoyen – impudent comme imprudent – se révèle être traité comme le serait l’ennemi public numéro un d’une Nation. Le citoyen lambda ne dispose pas de moyens équitables tels que l’accès prime time au médias de masse pour se défendre. Il n’a souvent pas les moyens financiers d’engager une armada d’avocats pour mener un combat qui sera (de toute façon) disproportionné.


La liberté à géométrie variable


Dans des affaires comme celles de Snowden, d’Assange, de Chelsea Elizabeth Manning, née Bradley Edward Manning (l’informatrice de WikiLeaks qui sera finalement graciée par Barak Obama) les « démocraties » prises la main dans le sac d’abus inacceptables ont invariablement lancé sans coup férir la machine à broyer socialement !


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