Le président et son gouvernement mènent à l’encontre des gilets jaunes une politique de maintien de l’ordre d’une extrême brutalité, avec au moins 2200 blessés et 8700 gardes à vues. Pour tenter d’étouffer la contestation, l’État a également recours à des violences symboliques : dans cet édito musical au vitriol, la Parisienne libérée montre comment, au mépris de la réalité, le chef de l’État prétend proscrire l’usage du mot de « répression ».
"Ne parlez pas de répression. Vous insultez la start up nation. Ne parlez pas des violences d'État. Le Président ne supporte pas ça. Ne parlez pas des mains arrachées Des yeux broyés, des vies brisées Des flaques de sang sur les pavés Ne parlez pas de la réalité..."
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