« Le syndicalisme est mortel », affirmait Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, en 2017. Les échecs récurrents des manifestations interprofessionnelles et, récemment, l’absence d’empathie des syndicats pour les « gilets jaunes », qui placent pourtant le pouvoir d’achat des plus modestes au centre de leurs préoccupations, traduiraient-ils l’épuisement des premiers ?
