POUR UNE SOCIÉTÉ
SANS EMPLOYEURS,
SANS PRÊTEURS,
ET SANS ACTIONNAIRES
« Ce n’est pas l’homme qui bouffe la planète, c’est le capitalisme »
C'est l'analyse critique de Thibault Prévost : « N’en déplaise aux penseurs de l’économie verte, l’accroissement des richesses et la sauvegarde de l’environnement sont mutuellement exclusifs ».