En 2011, la Grèce est déjà en crise. La famille Filipou, propriétaire de l’usine Vio Me à Thessalonique, l’abandonne, laissant les salariés au chômage avec des arriérés de salaires. Aujourd’hui, les travailleurs de Vio Me sont devenus un symbole de la lutte pour l’autogestion en Grèce et ailleurs.
Le réalisateur a suivi le parcours de ces travailleurs quasiment depuis le début de leur aventure. Il rejoint le groupe des salariés et va filmer les premières réunions, les assemblées générales et les conflits… Il sera témoin des difficultés du processus démocratique vers une reprise de la production en autogestion.
Pour lire l'article de Marion Lafon
