Un an, quasiment jour pour jour, après le grande grève générale du 2 septembre 2015, au moins 150 millions de travailleurs indiens ont de nouveau paralysé le pays et massivement manifesté le 1er septembre dernier, à l’appel de dix organisations syndicales.
Encore un pays où le gouvernement veut à tout prix remettre en cause la législation du travail. Dans le cas de l’Inde, il s’agit de faciliter les licenciements et de limiter la liberté syndicale. Les organisations syndicales revendiquent au contraire « la stricte application, de toutes les lois du travail, sans aucune exception ni dérogation » et que toute infraction fasse l’objet de « sévères sanctions »
